Aujourd'hui en Roumanie mes impôts servent a affamer les fermiers, poussent Danone dans les bras de Persephone, et c'est carrefour qui se retrouve à gérer les labours légiférer l'accès grande échelle sur des surfaces, C't'ouvrir la porte de chez David à Goliath patenté par les cronides voraces A l'Hadessienne, a l'ancienne, L'agri passe de la cueillette aux enfers, du petit semis sur motte de terre aux éprouvettes en palettes,par containers. Un jour que j'crois proche, la vieille mere demeter passera l porche De nos cites, de nos parcelles T'facon, meme si on fait une croix sur le corn en tube et les sardines à moudre, L'bourdon au fait de la banquroute fera son office jusqu’à enfin dissoudre par son extinction le lien qui nous tenait ...humains qu'on entretenait avec un certain ...abandon humains libres d'un certain comme dans l'mythe Çà sera Un été de récolte intensive un hiver de riens et de pots-de-vin a la pachamama, Le secteur privé proposera des incentives, à l automne et une série de zéros et de uns dans le plat, printant doucement un printemps en beta Le vent du progrès me glace les os. La bouffe des mo(r)ts ne passe pas,ne passe plus La soupe de mots des passe-plats ne passe plus Notre sort s'est joue dans ces années d'overdose, Le temps du progrès nous décompose Le temp du pé_erre_ô_g R-e-s, , nous deboute,nous affame Alors qu'les abeilles ne peuvent plus charger le boot,--, ,ça bourdonne r-a-s, demain on booste la ram (j'ai la haine) r-a-m. perso j'm' apprete a sortir le -e- et ma lame perso y m'parait qu'le jeu est dit que pollueur-payeur j'assiste à la fin du programme space acteur, space tracteur Aujourd'hui en Georgie c'est la revanche du round-up ready L'amaranthe est résistante et elle s'étend Machine arrière des paysans pigeons sans stock à la merci Comme zeus avait banni sa fille Monsanto l'a senti Plus de semences en ninjas travesties Mais trop tard pour 50.000 hectares Là prophétie s'est déjà accomplie. En Géorgie Pour la suite on peut r'tourner au mythe: Déméter retrouvra Perséphone qui ne pourra être entièrement desintoxinéé Quand aux sept pépins de la grenade, Symbole de l'union du labo et de la nature, y nourrirons de leurs métaux durs la prochaine génération née, histoire de( s) savoir(s) si on peut changer l'homme en plomb.

Lorsque le grand cacique de cette époque, de tout ce cirque Ordonnera une revue, afin de Reconnaître le nombre de ses soldats Il en comptera cinquante trois, a vue Sans compter les pilotes de Berlin et de Troie Et ton pain et ta foi. Et taiau !

Bienvenue visiteur vers fouisseur de ton intellect entre dans le cœur de tes affects vois l'intérieur, vois ces prétextes Descend sans peur du gant a la marionnette Lis le manifeste de tes peurs montées à quatre épingles monstre que je suis, concierge de ta maison de singe. Mate moi ces portraits de moi en maitre du monde c'est monté sur roulette s, Actionne par tensiomètre, et dès que tu montes au delà des 87 Le grand tableau monte aussi et derrière l'maitre Y'a ton sound -system dernier cri et ta collec de films de bombes Bienvenue chez toi, espace réflexe ou t'etales mes richesses et ta représentation du monde. Volumes vides, caves pleines assied-toi sur l'sofa en penis de baleine. costume chic, soie de laine volutes humides senteur cananéene Bienvenue visiteur vers fouisseur de ton intellect entre dans le cœur de tes affects vois l'intérieur, vois ces prétextes Descend sans peur du gant a la marionnette Bien trop grand pour être pratique, Bien trop marbre pour être antique Bien trop toi pour être unique. Bien trop parfait pour être éthique, . Derrière cette petite porte En petit cachotier, tu stockes le dossier celui où sont consignés quelques impropres bondieusetés Qu' tu comptes brandir au caissier qui lui devra ou devrait Délibérer de la cote de ton bon. de l'usage de ton fond Ce jour-là, on décrochera les tableaux, On sortira l'encensoir, Que son parfum d'oubli t'accueille, te laisse croire que ses volutes masquent la sombre égalité, et au grand oeil Ce palais de l'orgueil le jour de la visite de l'ange immobilier

l’horreur sur son visage se répète et se répepète à la une de tous les journaux sages A coté de cette rubrique immobilière qui l’obsède, qui l’obsède ! Est-ce qu’il acquiert, est-ce qu’il cède? Est-ce qu’il compte ses sous ? sous les yeux de toute notre race ferroviaire impression terne, tenace de manquer d’air +à heure fixe, dans un wagon moderne +en bakélite de couleur passe-terne +les racines profondes de notre nation +répètent le monde -provisoirement saufs, quelques -innocents dorment presque, -encore un moment encore un arrêt, soufflet ouvert. -Rêvent-ils la même chose qu’hier ? Tout contre l’horreur des victimes, l’autre colonne t’ informe: "ça y est, le soir et même la nuit sont disponibles sur Iphone" -Trafiquants d’armes innocents désarmés et inconscients, -ils ne sont plus grand-chose -rouages, tire-manettes, on se répète -Trèès très loin des vrais mots qui puent et sans désordre Le rêveur sursaute au “goiedag-bonjour” annoné par l'auxiliaire peu locace. Nous sommes tous abonnés. abandonnés volontaires, auto-goal de l’équipe locale +Tchouk tchouk ..tchiik tchik…c’est encore la nuit, effets de reflets sur la vitre… +A 11h, 10h et demie, dix, une pale light qui grossit, grossit. +j’vole vers ce carré qui m’affole effet de panique: +ou est-ce l’bloc chauffant sous la banquette plastique +c’est comme si j’coulais sous l’pull un bouquet d’blanquette, un fumet d’panique Tchik, tchik : -à tout galop , les 4 murs high-tech d’un studio au 10e se la pète, -poste for récent dans c’t’aube qui n’est pas encore tout-à-fait prête. -Vivement ce soir, on s’repete Quand se découpent les volumes de l’usine Volkswagen Sur le gris pastel du petit matin blême. Bientôt résonne Hors de de ton iphone la voix encore plus lassée, que c’temps que tu vas gâcher que l”jour qui va passer C’est le contrôleur flandrien qui a cette heure a déjà fait 4 fois le chemin. Dames en heren wij komen aan in Brussel. arrivant à centraal au petit trop, peu à peu, un dernier coup de gel, un dernier coup de brosse et éteindre les circuits dans nos cheveux. On r’monte le mode cervelle „„froide. Lueur d’espoir, seul espoir d’un sauveur, la dernière page du journal affiche un grand carré blanc à la place du slogan de l’annonceur, et c’est offert par…Unilever! quand soudain le train bifurque pour vol de câble. Il sera dit que c’est encore un plus mal loti qui t’offrira le répit aujourd'hui Vivement ce soir, on s’repete

-No life de l'étage supérieur, -gamer sans âge et barbu-chef, -Tu parles plus à tes ouailles, la life tu l'écris en C++, merde! =Dieu fuit-il son monde à lui en imaginant le notre? =Pieu, suivi des monstres qu'on néglige depuis les temps du palépautre =Quel paradis fuis-tu, dis imaginant nos pauvres vies? =Toi et tes paroles de Miel imprimant les alvéoles de ma solitude, dis, T'amuses-tu avec le ciel du commencement qui d'vient caduque, la terre agrotoxique, le lait des lamas d’ amériques en babeluttes, Comment on fais pour séparer maintenant le jour d'avec le mur? Ou va-t-on mendier une nourriture qui serait garantie sûre, ou on charge nous, la map d'un tel futur? Comme l'hydro et l'oxygène ignorent tout de la goutte, la pomme en est faite, de même que Newton et ses doutes, Ooh, monde parfait des pirates et pain d'épices, tu vois, rien n'a changé. Et rends nous les clés tout-de-suite, -No life de l'étage supérieur, -gamer sans âge et barbu-chef, guide nous que l'on r'produise ta fuite créatrice -en livres, en peintures et en musique, Anxiogènes ! Comme l'hydro et l'oxygène ignorent tout de la goutte, la pomme en est faite, de même que Newton et ses doutes, Ooh, monde parfait de la zigurrat que l'on retapisse, tu vois, ça va changer. Et rends moi les clés tout-de-suite